Nos experts rassemblent pour vous toutes les nouveautés en terme de procédures d'immigration dans le monde entier.
Le gouvernement australien vient d’annoncer 190 000 places disponibles dans leur programme d’immigration permanente pour l’année fiscale 2023-2024.
Cela représente 27 000 places allouées de plus que l’an dernier à la catégorie des travailleurs qualifiés, malgré une réduction globale de 5 000 places.
Celles-ci sont réparties dans trois catégories :
Le 11 janvier 2024, le Canada va rejoindre la Convention du 5 octobre 1961, plus communément appelée « Convention de l’Apostille » ou « Convention de La Hague ». Cela signifie la suppression de l'exigence de la légalisation des actes publics étrangers.
En rejoignant cette convention, le Canada permet de réduire les coûts et les délais de légalisation des documents étrangers.
Les autorités hongkongaises ont augmenté le nombre d’emplois sur la Liste des Talents, faisant passer le nombre de ces emplois de 13 à 51, dans 9 catégories distinctes, incluant des métiers artistiques, certains ingénieurs et certains métiers attenant aux technologies. Les personnes occupant ces métiers sont éligibles à 3 types de procédures : le Quality Migrant Admission Scheme, la General Employment Policy et l’Admission Scheme for Mainland Talents and Professionals.
Le gouvernement de Nouvelle-Zélande a changé les conditions pour les visas de partenaires de travailleurs (Partnership Work Visa) possédant un visa Accredited Employer Work Visa (AEWS) et de Essential Skills Work Visa (ESWV). A partir du 1er juin 2023, les personnes souhaitant candidater pour un Partnership Work Visa pourraient être assujetties à un certain nombre de règles, comme :
Ces nouvelles conditions s’appliquent uniquement aux demandes de visa ou de renouvellement effectuées à partir du 31 mai.
Les ressortissants de certains pays ont désormais la possibilité de se rendre en Egypte et d’obtenir un visa à l’arrivée au lieu de faire des démarches dans leur pays d’origine. Cela est applicable :
Le gouvernement britannique va réduire les possibilités pour les étudiants étrangers de permettre à leur famille d’émigrer avec eux, sauf pour les étudiants en troisième cycle (master et au-delà), afin d’empêcher le travail des étrangers au Royaume-Uni via un visa étudiant. Cette nouvelle mesure prenant effet en janvier 2024 empêche la requalification d’un visa d’études en visa de travail avant la diplomation, et va exiger des preuves de fonds suffisants pour soutenir leurs dépendants.
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